Comme si de rien. La vie dans la ville. Un geste anodin, pour dire la couleur, le temps qui file, les volets ouverts sur le monde d'en-bas. Je me plais à réinventer Bastia en dégustant tes dernières images, mais je dois avouer que ton blog me sert chaque jour, parfois jusque tard dans la nuit, pour encastrer mon héros dans son village : à cet instant de l'histoire, c'est l'hiver pour lui, et tes photos de l'intérieur sous la neige et le froid me sont d'un grand, non, d'un immense secours. <br />
Merci beaucoup, Estel !